[Lecture] Mathieu GRAF, Nemesia

[ H E R O I C – F A N T A S Y ]
[Service de Presse #16]

« Au royaume de Nemesia, le prince Arode fait l’objet de toutes les inquiétudes lorsqu’il tombe dans le coma suite à un empoisonnement. Vaast, le mage royal, trouve alors le seul remède susceptible de le sauver : les cendres d’un phœnix qui se trouverait sur les terres de Nogradile, une sombre et lointaine contrée, dépourvue de vie humaine. Le mage n’a d’autre choix que de faire appel à la seule personne capable de mener à bien cette quête : Kelanor, un mercenaire très expérimenté et doté de talents indéniables pour ce type de mission. Le jeune homme s’entoure alors de Guismir, un nain de Belorac, et d’Eylis, une dryade de Nerimar, pour former une équipe plus que surprenante et parvenir à récupérer les cendres du phœnix qui sauveront le prince de son empoisonnement.
Si l’on pense au départ que l’empoisonnement du prince Arode n’est qu’une simple trahison, on se rend vite compte que le plan mis en œuvre par une race encore inconnue à Nemesia représente un réel danger pour le royaume. C’est en parallèle de leur quête pour trouver le remède du prince que Kelanor, Eylis, Guismir et Vaast permettent au roi Théodric de mieux comprendre les menaces dirigées contre son peuple. Alors que l’ennemi se révèle plus proche que jamais, c’est tout le royaume qui se trouve bouleversé et devra bientôt faire face à une invasion. »

[En bref] < Nemesia > est un roman qui suit la trame de l’heroic-fantasy pur de façon très règlementaire. C’est un monde à part entière, avec une Histoire réfléchie avec ses anciennes guerres, de nombreuses races aux mœurs et fonctionnements différents, des royaumes distincts avec leur hiérarchie propre, des lieux changeants et imaginés.<Nemesia> c’est aussi et surtout une mission principale et urgente, une troupe d’aventuriers hétéroclite et complémentaire, une enquête parallèle secondaire et une menace beaucoup importante qu’elle n’y parait. De sa plume simple et efficace, Mathieu GRAF nous propose une histoire claire et concise, facile et accessible. Même si parfois l’ensemble parait un peu trop scolaire, l’auteur ne lésine pas sur les détails ce qui permet de comprendre où il veut nous emmener mais aussi de mieux visualiser le monde qu’il a créé. Et ça, c’est important. J’ai beaucoup apprécié cette lecture parce que c’est une histoire plutôt complète, intéressante et réfléchie qui offre un voyage dans des contrées lointaines et qui permet finalement de se faire intérieurement un très beau travail d’imagination. J’émets cependant quelques réserves concernant les problèmes rencontrés par les personnages qui sont, à mon sens, un peu trop rapidement résolus et qui n’apportent, pour le coup, pas assez de suspense à mon goût. Finalement, je trouve que cette histoire a un très bon potentiel mais qu’elle mérite qu’on lui ajoute quelques éléments, détails ou rebondissements pour plus d’intensité et de profondeur. J’ai tout de même passé un bon moment de lecture, cela va sans dire. [15/20]

Une aventure heroic-fantasy accessible, simple et efficace.

– Trois raisons pour découvrir ce livre –

Une aventure claire, abordable et sympathique.
Un univers complet et accessible qui ouvre un chemin vers l’imagination.
Une suite à prévoir, à prédire ou à réfléchir après lecture.

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Pour qui ? Idéal pour tout lecteur de fantasy qui aime se plonger dans un univers très abordable, compréhensible, inconnu et construit de toute pièce.
Pourquoi ? Ce livre, comme tout récit de fantasy, permet de faire un bon travail intérieur d’imagination. L’aventure est sympathique, les missions sont réfléchies et les personnages sont attachants malgré leurs différences.
Mes recommandations : Bon roman au grand potentiel mais qui vise, par sa narration et son développement plutôt un public jeune / jeune adulte / novice en fantasy qu’un public averti.

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Je remercie Mathieu GRAF pour m’avoir permis de découvrir son roman.

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Mathieu GRAF
Nemesia

Style : Fantasy.
Public : Jeune adulte.
Mon livre : Ebook – auto-édition.
Parution : 2018.
Pages : ~253.

[La couverture] Voici une image bien sombre que j’ai un peu du mal à analyser après ma lecture. On y retrouve des éléments principaux à l’histoire : une forêt, des cendres, un oiseau… L’ensemble est harmonieux mais j’aurais préféré quelque chose de plus pétant, de moins tristoune, de moins grisouille. Cependant, ça va dans la logique de l’ambiance tragique dans laquelle est plongé le royaume de Nemesia.

[Les premiers mots] (Chapitre 1)
Il pleuvait à verse depuis le matin et la terre s’était transformée en boue. Par trois fois déjà son cheval avait manqué de se briser une patte en glissant, mais la nuit était tombée et il devait rattraper la créature avant qu’elle n’atteigne le fleuve. Son capuchon rabattu sur la tête et un foulard protégeant le bas de son visage, Kelanor galopait à bride abattue, sa cape volant au vent.

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Bla-Bla / Je le dis une fois de plus, mon rythme de lecture de tortue me fait prendre un retard monstrueux sur mes chroniques. Pourtant, j’aime ça, chroniquer. C’est partager quelque chose avec quelqu’un. Aujourd’hui, j’ai jeté mon dévolu sur Nemesia, parce que je voulais de l’heroic-fantasy. Et parce que le résumé, bien que très détaillé et informatif, m’a donné envie. Et globalement je ne regrette pas, parce que je vous présente là une aventure bien sympathique même si j’émets quelques réserves sur certains détails.

♦ Les bases ♦

[L’histoire] Royaume de Nemesia. La vie y est relativement paisible depuis la guerre des races 500 ans plus tôt. Mais le prince Arode, fils du roi des humains, vient d’être empoisonné le laissant gésir dans un état maladif et inconscient. La situation est grave et préoccupante mais Vaast, le mage royal, a peut être trouvé un remède unique. Le roi Théodric, prêt à tout pour sauver son fils, ordonne ainsi à son mage de partir immédiatement. Pour mener à bien sa mission, Vaast va devoir s’entourer des plus expérimentés dont Kelanor, un mercenaire à la grande renommée. Mais leur périple ne sera pas de tout repos et ils comprendront très vite que la menace qui pèse sur le Royaume est bien plus grande qu’elle n’y parait…

[Les personnages principaux : Vaast & Kelanor] Deux personnages, deux opposés.
Vaast, mage royal. Loyal, ambitieux, motivé et fidèle. Il a à cœur la réussite de sa mission. Il œuvre avec énergie pour le bien se son royaume et s’y dévoue corps et âme.
Kelanor, mercenaire. Fort, humain, solitaire. Ses valeurs, très personnelles et louables, lui permettent de vivre comme bon lui sent et de protéger ce qui en vaut le coup.
// Personnellement, je me suis beaucoup plus attachée à Kelanor qu’à Vaast – probablement parce que ses valeurs et ses motivations me touchent un peu plus que celles du mage.

♦ L’ambiance & le contenu ♦

[Un univers heroic-fantasy règlementaire et intéressant] Nemesia, c’est un voyage d’un autre temps, d’une autre dimension – un voyage dans un univers heroic-fantasy pur. En effet, dès le début du roman nous sommes plongés au Royaume des Humains avec un palais, un roi, des mages, des gardes… Puis petit à petit nous découvrons qu’il existe d’autres peuples avec leurs chefs et leurs soldats. Je pense entre autres aux Nains et aux Dryades qui font partie intégrante à l’histoire. Mais il y a aussi des créatures fantastiques, des gros méchants dont je ne peux vous en dire plus et une Histoire propre à chaque race. Bref, tout est là, très fidèle à la représentation même d’un monde fantasy comme on pourrait l’imaginer. Et moi, j’apprécie grandement ces récits de contrées lointaines, parce que ceci permet de faire intérieurement un beau travail d’imagination. Aussi, je tiens a préciser que l’auteur ne lésine pas sur les détails puisque chaque créature ou chaque peuple est décrit de manière claire et précise. Ceci aide à comprendre plus clairement les éléments du récit et permet surtout de se créer d’excellentes images au plus proche de l’idée de base de l’auteur.

[Une aventure complète mais rapide] Outre le décor et l’ambiance générale du roman, on découvre au fil des pages une épopée toujours très digne de l’heroic-fantasy. Dans les grandes lignes, il s’agit de peuples qui se rencontrent et qui s’allient ou non avec par-ci par-là des moments de combats ou de négociations. Pour aller plus en précision, Vaast, le mage royal, se voit confier la lourde tache de trouver un remède pour son prince empoisonné. Pour ce faire, il a besoin d’un ingrédient très spécial qu’il est possible de récupérer uniquement dans une contrée lointaine, sauvage, hostile. Il va alors s’entourer des meilleurs pour mener à bien sa mission. Mais une fois sur les routes, l’aventure, bien qu’urgente, sera parsemée d’embuches. Effectivement de nombreux dangers les attendent au tournant. Même si j’ai beaucoup aimé ces différentes interventions, je ne peux m’empêcher de ressentir une petite pointe de déception quant à la rapidité d’exécution ou de résolution de ces problèmes. A mon sens, tout est très bien pensé pour que cette histoire fonctionne, c’est indéniable. Mais les choses se passent tellement vite que je reste un peu sur ma faim, tant par rapport aux difficultés finalement vite écartées que sur le contenu même des problèmes : les dialogues succins mais utiles, des combats puissants mais vite terminés, des évènements suffisants mais sans trop de complications. Malgré cette rapidité, le récit reste clair et intéressant, et j’ai quand même passé un très bon moment de lecture, même si l’histoire aurait mérité d’être un peu plus approfondie.

[Un groupe complémentaire qui fonctionne bien] Pour que la mission principale se déroule au mieux, Vaast doit s’entourer des meilleurs. Ainsi, la petite troupe se compose de Kelanor, mercenaire humain, Eylis, combattante dryade, Guismir, guerrier nain, et évidemment de Vaast, mage royal humain. Très hétéroclite dirais-je, mais complémentaire. Chaque personnage possède des capacités différentes ce qui permet à ce groupe de fonctionner et de mettre à profit son savoir dans les meilleures conditions. Caractère propre à chacun, aptitudes au combat, maitrise des mots pour négociation… Tout est réfléchi pour qu’ils puissent se rendre utile à un moment ou à un autre de la mission. Et j’avoue que c’est très bien pensé, parce que cette complémentarité permet de résoudre tous les problèmes d’une manière ou d’une autre. Aussi, leurs différences permettent de les dissocier et de les apprécier (ou non) à leur juste valeur.

♦ Le fond, la forme, la plume ♦

[Un cheminement logique et sans encombres] Comme je l’ai expliqué, ce livre est plutôt un bon ouvrage d’heroic-fantasy pur. Les bases sont là pour une belle aventure : un univers complet est créé (races, historique, lieux), l’ordre de mission est plausible, une troupe hétéroclite et complémentaire est en marche. Cependant les évènements se déroulent de manière plutôt logiques et prévisibles. On s’imagine facilement quels problèmes les personnages vont pouvoir rencontrer, et personnellement, je n’ai été que peu surprise au cours de ma lecture. Aussi, la rapidité d’exécution des actions et de résolution des problèmes m’a quelque peu dérangé. En effet, avec un univers aussi bien construit, je trouve dommage que tout se déroule si vite et sans grosses embûches. Globalement et synthétiquement : la troupe doit se diriger d’un point A à un point B pour récupérer une chose C avant de revenir au A – la case départ. Ils se déplacent donc avec les moyens du bord, réfléchissent un peu pour avoir une stratégie, tombent sur quelques évènements peu engageants là pour les retarder, doivent convaincre X ou Y et s’autorisent à liquider quelques malotrus. Je ne donnerais évidemment pas la réponse finale, mais le schéma de base est comme ceci. Bon, c’est tout de même pas aussi simpliste que je l’expose mais l’idée est là. Mes termes peuvent paraitre désobligeants, mais croyez-moi, là n’est pas le but. En réalité, je pense que cette histoire a un très bon potentiel, mais à mon goût, il faudrait un peu plus de lenteurs ou de rebondissements et peut être même quelques problèmes supplémentaires pour permettre au lecteur d’émettre des doutes sur la réussite souhaitée ou l’échec potentiel de la mission générale. Quelque chose pour apporter une touche de suspense plus intense.

[Une double mission ouverte vers une suite ?] Je n’en ai pas parlé jusqu’à maintenant, mais en réalité, ce livre ne se compose pas uniquement de la mission principale. On y trouve également une petite enquête secondaire en parallèle qui peut se révéler tout aussi importante que la première. Oh je ne peux pas vous en dire plus, trop de spoil sinon et c’en serait dommage. Mais sachez une chose : de ces deux intrigues va découler une menace beaucoup plus dangereuse qu’on peut imaginer. Et ça, c’est très agréable à découvrir. Et surtout… c’est une porte ouverte pour une suite ! J’aime ce genre de récit qui permet de réfléchir à « l’après », qui permet de se poser de nombreuses questions. Ça donne l’envie de connaitre la suite, évidemment. // Vous connaissez ce sentiment ?

[Une écriture simple et efficace…] …c’est ce que nous propose Mathieu GRAF avec son histoire à la fois intéressante et réfléchie. Le récit est très compréhensible et les descriptions sont détaillées ce qui permet de se faire une bonne idée des éléments du roman. Et c’est important, d’être précis, quand on veut proposer sa vision des choses. Ceci dit, je dirais que parfois, cette simplicité a des tendances à être un peu trop scolaires, avec des tournures de phrases basiques et quelques répétitions par-ci par-là. Mais globalement, je dirais que la plume de l’auteur est concrète et précise, facile et accessible.

♦ Quelques détails ♦

[Mes petits points négatifs] J’en donnerais trois – sans critique et en toute bienveillance.
1) La narration / Bien que le livre soit très compréhensible et abordable, je trouve que l’ensemble reste un peu trop scolaire à mon goût. L’essentiel est dit, mais les descriptions me paraissent trop faciles et les tournures de phrases un peu trop simples. Après, je soulève ce point, mais si le public visé est plutôt jeune, alors c’est parfait comme ça.
2) La rapidité de l’aventure / Quelques problèmes sont rencontrés par les personnages, mais je trouve qu’ils sont très vite résolus. Trop ? J’aurai aimé davantage d’embûches pour apporter un suspense supplémentaire et pour avoir quelque chose de globalement moins logique. L’histoire serait alors beaucoup plus complète et plus intrigante.
3) Le résumé de l’auteur / C’est un point que je n’aborde pas, en règle générale. Mais même s’il m’a beaucoup attiré au départ et que c’est grâce à lui que j’ai eu envie de découvrir ce livre, j’avoue être plus mitigée après ma lecture sur son contenu que je trouve finalement trop explicatif.

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< Nemesia > est un roman qui suit la trame de l’heroic-fantasy pur de façon très règlementaire. C’est un monde à part entière, avec une Histoire réfléchie avec ses anciennes guerres, de nombreuses races aux mœurs et fonctionnements différents, des royaumes distincts avec leur hiérarchie propre, des lieux changeants et imaginés. < Nemesia > c’est aussi et surtout une mission principale et urgente, une troupe d’aventuriers hétéroclite et complémentaire, une enquête parallèle secondaire et une menace beaucoup importante qu’elle n’y parait. De sa plume simple et efficace, Mathieu GRAF nous propose une histoire claire et concise, facile et accessible. Même si parfois l’ensemble parait un peu trop scolaire, l’auteur ne lésine pas sur les détails ce qui permet de comprendre où il veut nous emmener mais aussi de mieux visualiser le monde qu’il a créé. Et ça, c’est important. J’ai beaucoup apprécié cette lecture parce que c’est une histoire plutôt complète, intéressante et réfléchie qui offre un voyage dans des contrées lointaines et qui permet finalement de se faire intérieurement un très beau travail d’imagination. J’émets cependant quelques réserves concernant les problèmes rencontrés par les personnages qui sont, à mon sens, un peu trop rapidement résolus et qui n’apportent, pour le coup, pas assez de suspense à mon goût. Finalement, je trouve que cette histoire a un très bon potentiel mais qu’elle mérite qu’on lui ajoute quelques éléments, détails ou rebondissements pour plus d’intensité et de profondeur. J’ai tout de même passé un bon moment de lecture, cela va sans dire. [15/20]

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[#1 – 13%] L’entrée de Kelanor et Vaast interrompit les Nains dans leur repas et leur discussion, tournant ensemble leur regard vers les deux intrus qui n’avaient même pas pris la peine de s’annoncer.
— Rien ne vaut une épée à deux mains, solide, souple, et à double tranchant, dit Kelanor en tapotant sa propre arme qui pendait à sa ceinture. Avec une arme comme celle-ci, on peut rester rapide, fluide, on garde une totale liberté de mouvement.
Le Nain le plus trapu des cinq se leva et s’approcha de Kelanor. Levant la tête pour regarder son interlocuteur dans les yeux, le Nain laissa un silence s’intaller. Vaast était inquiet et ne comprenait pas la tension qui s’installait. Le mage commençait à transpirer craignant qu’une bagarre n’éclate.
Sans quitter Kelanor des yeux, le Nain reprit la parole :
— Un marteau de guerre, fait d’un alliage parfait des métaux les plus résistants. Léger et maniable, rien de tel pour fracasser le crâne des gobelins ou de n’importe quelle créature, ou humain arrogant et mal poli. Les épées sont des armes bonnes pour les femmes.

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[#2 – 37%] Kelanor observa l’horizon quelques instants afin d’étudier les formes de Nogradile et tenter d’évaluer à quel point leur parcours pour rejoindre les montagnes serait long et difficile. Depuis la vigie, l’île semblait être plutôt plate et on pouvait voir qu’elle ne possédait qu’une seule grande chaine de montagnes visiblement proche du centre. Il resterait alors à déterminer sur place vers quel sommet ils devraient se diriger pour trouver le nid du phœnix. Kelanor nota l’abondance de forêt qui les obligerait à avancer lentement, et qui indiquait la potentielle présence d’une faune abondante et probablement dangereuse.

– Mes remerciements à l’auteur –

Cher Mathieu,
Je tiens personnellement à vous présenter mes excuses si ma chronique n’est pas « que » positive et ceci malgré la fait que j’ai beaucoup apprécié votre livre. J’ai l’habitude d’écrire au plus proche de mon ressenti, que ce soit pour les bonnes choses que pour les petits points négatifs que je peux soulever.
Sachez que mes critiques sont toujours émises en toute bienveillance, sans penser un seul instant à rabaisser ni dénigrer le travail fourni. Je pense d’ailleurs qu’il est primordial pour tout blogueur/chroniqueur de réussir à être impartial et d’être capable d’écrire en toute honnêteté.
Je vous remercie de nouveau pour m’avoir permis de vous découvrir. Même si je donne parfois un avis mitigé, ça ne m’empêche pas de vouloir en savoir un peu plus… J’ignore si vous avez écrit ou pensez écrire une suite à Nemesia, mais si tel est le cas, je serai très heureuse de vous relire !
Bien à vous, Lily.

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